C’est normal que la vie soit chère ! sinon elle vaudrait rien ! A quoi bon une vie qui ne vaut rien ? ce qui n’est pas normal c’est que des gens soient pauvres !

Pauvres d’esprit, pauvres de savoir, pauvres d’amour, pauvres sans famille, pauvres cons… Ceux là peut on les pardonner...

Quoique un vrai con ne le fasse pas exprés, un con-nart (celui qui possède l’art d’être con) ou une connasse sait parfaitement ce qu’il fait. Même s’il cache son jeu derrière (par exemple), une générosité certaine on reconnaît tôt ou trop tard un vrai con-nart à ce qu’il n’a d’égard que pour lui même mais qu’il a besoin des autres pour se le prouver et se le rappeler.

Aussi quand il n’est pas non plus trop idiot-bête et méchant , le retrouve-thon dans notre quotidien plus ou moins bien placé socialement, comme une pièce sur un échiquier là où il y a de la hiérarchie et du pouvoir n’importe lequel, son but étant (c’est bien connu), sinon de devenir le roi des cons, tout au moins (pognon parlant) le plus riche et le plus célébre de tous les cons !

Dans ce monde où trop de conn-arts monopolisent la parôle, soyons lucides, mieux vaut se rassurer de savoir que l’on ne comprend pas tout plutôt que d’être certain qu’on a tout compris. N’est ce pas pas Maréchal monsieur le pipe- pape - pope - Herr l’imam - myster rabbin… ? - n’est-ce pas Monsieur le président ? Hein papa que le père noël il existe pas ? Nous serons la hache ils seront le bois bientôt mort comme leur bûche pleine de gras industriel sur la table à Noël, car les vrais rats ne vivent pas dans les égouts !

La propriété ce n’est peut être pas le vol, c’est LE VIOL de la nature !

Parce qu’une maison se transforme trop facilement en prison, nous serons la hache elles seront en bois bientôt feu de joie !

Bref, dans le désordre, n’oublions pas pendant les fêtes :

• Eclatons nous comme des bombes dans la foule en Irak
• Envoyons nous en l’air comme des montgol fières
• Tous carbones même si ça pollue !
• La nature, ceux qui ont peur d’être libres l’appellent dieu ! Ha les cons
• Sans déconner et surtout sans s’en rendre malades  («  n’est ce pas docteur ? ») , soyons patients avec les cons
• À l’Embobineuse tant que c’est pas la fin c’est toujours le début !

KaKAlulu Christobald

À ceux qui n’ont pas honte d’être libre, à ceux qui n’ont pas peur d’être seuls:

1. Etant entendu que l’autonomie du champs intellectuel, garante de l’indépendance du jugement critique n’a pas tant à être sauvegardée pour elle même que pour l’usage qu’on peut en faire.
2.  Se situant à l’intérieur d’un système de valeurs selon lesquels tous les humains sont égaux en humanité, non pas par la grâce d’un humanisme bien pensant mais parce que nous sommes tous capables de ressentir des émotions.
3. Contre la conception naïvement et intemporellement « humaniste » qui voudrait que chaque être humain ait une âme qui soit sensible à l’art en dehors de tout apprentissage culturel, et que chaque citoyen ait une intelligence innée de la société dans laquelle il vit.
4. Etant entendu que l’artiste est celui qui est capable de faire sensation, ce qui ne veut pas dire faire du sensationnel à la façon de nos saltimbanques de télévision, mais, au sens fort du terme, faire passer dans l’ordre de la sensation, qui, en tant que telle, est de nature à émouvoir, des analyses qui, dans la rigueur froide du concept et de la démonstration, laisse le lecteur ou le spectateur indifférent.
5. Prenant en compte les spécificités respectives, et , historiquement conquises, du champs artistique et du champs scientifique,

Comment divulguer sans les simplifier, les dévoilements critiques accomplis au moyen des formes scientifiques et artistiques, et comment ne pas laisser se dissoudre sous l’effet insidieux d’une auto-censure spontanée et généralisée, une autonomie sociale et intellectuelle historiquement gagnée contre les pouvoirs économiques et politiques ?

Constituons un contre pouvoir capable d’imposer y compris s’il le faut contre la raison d’état, les valeurs universelles de justice et de vérité, et capable d’éveiller la conscience critique du plus grand nombre, pour le bénéfice de tous, contre la conjuration des cons méchants.

From KaKAlulu Christobald et Monsieur Bourdieu