La musique est ce ciment qui nous fait prendre conscience de la nécessité d'agir pour luter contre cette atomisation de nous même.

Les arbres communiquent entre eux par les racines et forment, dans le cas des grandes forêts un être à part entière capable de diffuser un message d'alerte en cas d'attaque incendière et de faire ainsi secréter une sève qui retarde la propagation du feu.

Comme ces êtres sacrés, nous sommes reliés par nos racines sonores, et aussi par celles que nous ne connaissons pas encore. La Musique est sacrée, comme la Vie. Le jazz est mort, le jazz est noir.

La musique est une messe, mesa de lost woman, et dans la communion de l'acte musical enfin nous redressons notre être afin qu'il se prépare à défendre la cause juste: celle qui nous débarasse des poncifs de cette société de l'échine courbée, de la frustration névrotique, de l'imaginaire de vidéoclub, des boulangeries au pain dégueu, des supermarchés qui ont supermarché sur les paysans, des gouvernements qui ont super abandonné leurs fonctions pour superbien servir l'intérêt des superdirigeants de ce supermonde immonde.

Après la musique festive et comme l'heure n'est plus à la fête, fêtons joyeusement le retour de cette période de croissance de l'activité solaire. Celle-ci atteindra son pic en 2012, et si les observations de corrélations se confirment, nous aurons droit soit à une guerre mondiale, soit à une guerre civile.

L'heure n'est plus du tout à la fête. Sauf pour ce qui est de fêter celle des grosses S.A. et des rkonards.

Spéciale dédicace à la confédération helvétique et à ses expulsions expéditives (là-bas comme ailleurs).

LES EMBOBERNEURS