A PROPOS DE KILL THE THRILL

Nicolas Dick: Vocals, Guitars, Programming
Frederick De Benedetti: Guitars, Vocals, Programming
Marylin Tognolli: Bass, Vocals, Programming

Formé depuis 1989 Le groupe a joué avec : Killing Joke, Einstuerzende Neubauten, Young Gods, La Muerte, Neurosis, Grötus, Treponem Pal, Big chief, Coroner, Zeni Geva, Hint, Goz of Kermeur, Jim Rose Circus, Isis, Jesu, Dillinger Escape Plan et bien d’autres.
Leur premier album "DIG ", produit par David Weber et Nicolas Dick au Studio des Forces motrices en 1993 est accueilli unanimement par la presse, dans le même temps paraît leur maxi " PIT " ; le groupe qui compte alors trois musiciens (Nicolas Dick ,Marylin Tognolli , Patrick Allard), tourne un peu partout en Europe et dans divers festivals (Fontenay le Comte, Nevers à Vif, Rockomotives, Artefacts …) apparaissant également sur de nombreuses compilations. En 1996 leur deuxième album " LOW " est enregistré et produit par Nicolas Dick. De trio le groupe est devenu duo (Patrick Allard quitte le groupe), mais collabore pour cet album avec le musicien ErikM. Le groupe tourne en France et à l’étranger jusqu’en en 1998 où un nouveau deuxième guitariste Fréderic De Benedetti intègre de façon stable la formation.

Kill The Thrill en 2001 enregistre et produit son troisième album "203 BARRIERS " à New York pour le label Season Of Mist Rec., confiant à Michael Gira (Swans, Angel Of Light) la direction artistique du projet, Nicolas assurant à nouveau le mixage dans le studio du groupe.

« … De duo le groupe s’est mué à nouveau en trio, cette formule lui permettant de pousser la symbiose basse - guitares - boite à rythme à son paroxysme et de s’investir dans une recherche sonore de plus en plus audacieuse. Le résultat en est l’album 203 Barriers univers où le zapping est inconcevable, succession de plages noisy et d’ambiances apaisées. Le calme ET la tempête. De purement hard-core bruitiste leurs compositions ont évoluées vers une fureur contrôlée, mélodique et éthérée.
Une musique extrémiste et parfois dérangeante, dans laquelle il faut s’immerger pour goûter aux sensations brutes et envoûtantes, dont on sort la chair profondément marquée, tant le voyage proposé est organique. »

Kill The Thrill compose aussi régulièrement, ensemble ou séparément, pour des compagnies de théâtre de rue, de danse ou de théâtre, dont notamment la musique d’une pièce de théâtre de Joris Lacoste mise en scène par Hubert Colas (Cie Diphtong/ Montevideo) : « Comment cela est-il arrivé ? », créée en 2002. Lecture de « M », de et par Hubert Colas, chant : Nicolas Dick au Festival In d’Avignon 2005 (Diffusion sur France Culture). Création musicale de "I reduci" de Marco Giorcelli Teatro della Tosse Genova Italie. Création musicale de" L'oeil du Cyclone" pour la Cie Karnavires.

A PROPOS DE ALUK TODOLO

Shantidas Riedacker : Guitar, Antoine Hadjioannou : Drums, Matthieu Canaguier : Bass

Aluk Todolo, is an instrumental power trio formed in 2004, and performs Occult Rock, a methodical exploration of the powers of musical trance.
Part occult black metal fiend and part snide kraut menace, the band conjures rabid obsessive rhythms and abyssal disharmonic guitars, subliminal spiritualist vibrations and bizarre, magick summonings. Aluk Todolo reduces psychedelic improvisation to a bare, telluric instrumentation, in which dry, spare percussion grievously mines the scrapes, shrieks and shimmer of mutated guitar and bass.
The band’s sound is monolithic and stabbing, hypnotic but unpredictable, minimalist yet teeming: a dangerous, noxious coil of all things black.

Finsternis

CD 2009 (LP may 2010) released by Utech records - USA
Depuis leur premier single et surtout l'impeccable "Descension" paru sur Riot Season / Public Guilt, les Parisiens d'Aluk Todolo se sont révélés comme l'une des pépites les plus magnétiques du metal expérimental underground actuel.
Mélange insolite de posture Black metal vibrionnante et de motricité krautrock hypnotisante, ce trio dantesque développe une approche sonore à la fois lourde et minimaliste, noire d'introspection sensorielle mais brillante de profondeur atmosphérique et d'abstraction harmonique contenue. Finsternis, leur nouvel opus, accentue et magnifie la formule toue en la simplifiant dans sa forme. Eloge d'une certaine lenteur, aussi spectrale que structurée dans ses déclinaisons de textures subtiles, le disque révélé une unité dans la durée qui s'insère insidieusement au cours d'une longue trame électrique lancinante, décomposée en cinq parties/plages, émergentes, chacun des "quatre "contact" plus le titre "totalité" intercalé en charnière, morceau où d'ailleurs le temps semble se suspendre dans une plénitude électrostatique flirtant subitement avec un dark-ambiant industriel et martial. Un moment d'observation fatidique qui précède l'explosion littérale, al déflagration sonique létale du "troisième contact", où la rythmique claudicante se retrouve enfoncée par un mur du son sinusoïdale, une brutalité esthétique percluse de drones fusantes venant lézarder un édifice basculant dès lors entre nonchalance structurée et chaos cosmique, intense, indispensable. -

Elegy Magazine

A PROPOS DE MEIN SOHN WILLIAM

Dorian Taburet : Guitare, sampling, voice, percussion, ...
Sometimes or sooner Guests : Éric Thouvenel : Clarinette basse Antoine Minguy : Batterie

Performeur live de génie, cet homme orchestre vous emportera avec lui dans son univers tourmenté et sombre ensoleillé par un brin d'humour. Qualifié d'artiste le plus en sueur de la planète, ses concerts sont de vrais marathon pour lui et son public...chaussez vous correctement et prenez une serviette... Après une cure de désintoxication douloureuse dans un centre hautement surveillé de la capitale allemande, « le fils William » revient et veut clamer au monde sa guérison par la foi.

Désormais très croyant et fort pratiquant, il chante, principalement, dans des églises romanes à des fins caritatives. Mais, ayant récemment confessé dans un état d’ivresse au père de l’Abbaye du Mont-Saint-Michel qu’il ne venait pas au monastère pour jouer de la musique mais principalement pour goûter les omelettes de la Mère Poulard, il se voit contraint d’abandonner le chant liturgique et essaye en vain de séduire un public athée.

Last album : “orchestre national” (offoron records) Release date: 2009