A PROPOS DE CERCUEIL

Attention : faux amis. Cercueil n'est pas un duo romantique et gothique. Certes, le nom du groupe est un clin d'oeil bien inspiré au monde des ténèbres, à la culture goth et au cinéma de genre. Mais sous le couvercle, point de zombie : plutôt de la lumière, de l'humour et de la malice, dont celle de mixer : laptop et sonorités folk, stroboscopes amplifiés, basse préparée, hit disco, synthés vintage, et voix féminine divine... celle qui atteint le coeur comme une flèche alors qu'on tenait un super pas de danse.

«Si les récentes initiatives du groupe orientaient déjà Cercueil vers l’éclectisme, les nouvelles compositions embarquent l’auditeur vers de nouveaux horizons: opéra fantomatique à haut plafond, poésie des natures mortes et rage des black divas qui brisent le cristal, lames de fond glacées qui parcourent l’échine, bande-son d’une intrigue dont le groupe suggère les images, plus qu’il ne les montre. (…) Sans dénaturer le propos, Cercueil pratique le Goth’n’roll. Un genre à part qui n’existe pas, allant du disco à Lovecraft en passant par Boards of Canada. Mais les esprits seraient-ils si étriqués, que Cercueil ne rentrerait dans aucune boite? Tout au plus pourrait-on citer Sister Iodine, ou Poni Hoax pour marquer l’envie d’expérimentation appliquée à des chansons à refrains consistants. L’ajout d’un batteur (Olivier Durteste de Gomm) fait ici toute la différence, donnant la pulsation nécessaire à Cercueil pour prendre son envol. Rattacher deux mondes (l’électrique, le digital) en un pôle…»

Bester Langs.

A PROPOS DE PSUKAÏ

Spectacle transversal ...Quand la musique et les arts-plastiques se rencontrent…

Que pouvons-nous comprendre, nous, gens de lumières, nous qui ne cherchant plus à atteindre un autre monde, ne distinguons plus de passage au-delà du temps ? Nous qui ne pratiquons plus d'initiation, que pouvons nous comprendre à cette heure mystérieuse où, dans nos tragédies et nos mythes, chacun vient se faire reconnaître d'un dieu ?

Arts plastiques : performance, installation, vidéo

Sur des couches sonores electro/tribales, Bella, à la guitare, construit progressivement des nappes semi improvisées : sons puissants, rauques, telluriques, feulements ou mélodies ciselées d’inspiration métal-orientale. La voix de Volpa s’élève sur cette construction métallique, mélopées envoûtantes, éclats bruts, grondements. Les rythmiques tournent, lourdes, sombres, provocantes, sensuelles, soutenant le cri de la femme sauvage. Les textes, tantôt chantés, incantés et/ou psalmodiés, (français, italien, anglais, latin) racontent des histoires originelles survenues de l’inconsciant collectif. Volpa construit petit à petit un nouvel espace scénique avec des matières naturelles (pierres, os, branches, fourrure, fil de laine…etc), de temps à autre, des images filmée apparaissent, des jeux d’ombres et de lumières…

PSUKAI est un conte sauvage, une sorte de folie contrôlée, une tentative de retrouver une naïveté enfantine…Volpa et Bella ramènent le spectateur à ses dimensions cachées, essentielles, universelles...

CRIE BAVE TOUCHE DRESSE TOI...

A PROPOS DE HEAD OF WANTASTIQUET

Sunburned Hand Of The Man mercenary, now relocated in the rich part of Bruxelles. Paul Labrecque creates his own myth with only the help of his axe and brains. Shredding his soul in a roughly loose psychedelic style, with links to both Japanese and American 60's teachings. An adult liason of beauty, mythology and magick, celebrating the eye of the spirit of the ever wandering soul called man.

Released records on Eclipse, Open Mouth, Ecstatic Peace/Father Yod, etc.