A PROPOS DE ZOMBIE ZOMBIE

Zombie zombie, c’est Etienne Jaumet, ingé-son collectionneur de synthétiseurs vintages + Neman, batteur d’HERMAN DUNE.

Ces deux-là se connaissent depuis au moins dix ans et n'avaient jamais encore eu la bonne idée d'associer leurs talents : quelques lignes de synthé monophoniques sur une batterie krautrock. Ils secouent régulièrement les salles parisiennes et se sont fait remarquer aux Nuits Sonores, au MEG Montreal, cet été à Dour et Bruxelles, recemment aux Musiques Volantes, Acces(s), Neuchatel et lors de leur première tournée anglaise (décembre 2007).
"CAN meets SUICIDE meets COSMODROME meets LFO meets JOHN CARPENTER meets SONIC BOOM, ça fait peur"

(Chronic’Art).

"Zombie Zombie confirme son eviable position de Liars hexagonal”

(Trax)

Ce disque aurait pu être fait il y a trente ans et c’est pour cela qu’on l’adore, au même titre qu’on pourrait tuer pour écouter des groupes comme les Américains Silver Apples ou les Allemands Neu. Les modèles mêmes de Zombie zombie, duo français, composé d’un ingénieur du son aux goûts sûrs (il officie du côté de la salle indé Mains d’Œuvres) et du batteur d’Herman Düne. Ensemble, ils créent une musique à base de rythmes primitifs et de synthés analogiques poussés jusqu’au bout de leurs ressources. Ce disque est leur premier, ne sort qu’en vinyle et comprend six titres dont une reprise de Warm Leatherette, morceau signé The Normal et composé à la fin des années 70 par Daniel Miller, fondateur du label Mute (Depeche Mode, etc.). Il s’agira du seul single de The Normal, mais il aura une longue descendance : Zombie zombie pourrait bien être l’un de ses derniers rejetons.

En tout cas, on verrait bien sa musique sur le label Mute. On la verrait bien aussi, surtout, comme illustration d’un film italien gore ou jouée dans un club de techno, sous crack et héroïne. Zombie zombie mêle plusieurs mondes, semble avancer sans se soucier de ce qui l’entoure, sans pitié pour la modernité ou les artifices à la mode : sa musique parle d’elle-même, d’un temps résolument ancien, mais aussi résolument moderne. Pour son prochain disque, le groupe a signé avec l’excellent label parisien Versatile, amateur de techno et de krautrock : une synthèse parfaite." (Joseph Ghosn - Les Inrocks) "Un clavier débonnaire au sourire paradoxalement diabolique et un batteur stakhanoviste planqué sous sa capuche de lutin.

A PROPOS DE DESCHAMPS

"Je ne saurais trop vous conseiller l’écoute d’un très bon ami : Deschamps, qui tente à lui tout seul d’imposer le krautrock dans la ville du rap et du foot, Marseille" (Pierre). Il n’y a pas que Stereolab qui ait repris le flambeau du motorik beat ces dernières années.

Deschamps est un musicien marseillais fraîchement débarqué sur la scène musicale (que certains auront pu voir en première partie de Hrsta et Carla Bozulich), déjà connu pour ses activités de DJ au sein des soirées We are not the robots et pour ses mixs radio.

A PROPOS DE WHY AM I MR PINK

Une pincée de Post Punk (The Slits, Gang of Four, ESG, James Chance...), une cuillerée de Hip-Hop Old School (Rammellzee, Eric B And Rakim, Mantronix...) et un zest d'Electro Rock (LCD Soundsystem, Liars, !!!, The Rapture...).