J3 / Enfin Seule Festival #3
Sir Konflex
Pour clôturer cette troisième Edition avec PANACHE, ce sera Sir Konflex qui fera balancer tes derniers poils en rythme, de l’acide aux virages serrés.
Filusa
" Per fielar aquela istòria faliá lo torn dau temps. "
Filusa tòrna de musica, d'istòria, sus lo fieu tesat onte s'entremesclan l'auba e l'error, l'uèi e l'aièr.
" Pour filer cette histoire il fallait le rouet du temps. "
Filusa tourne de la musique, de l’histoire, sur le fil tendu où s’entremêlent l’aube et le crépuscule, l’aujourd’hui et l’hier.
〈Chant / raconte / drone / alto / objets / K7〉
Jeanne des Abattoirs
Les objets asexués sont-ils des anges ?
Avec dans le désordre d’apparition : Peaux de citrons, Allégeance de Char, L’enfant Saint Pied, L’endeuillée, Cantate de Bach, Phoenix publicitaire. Une tentative d’écriture d’un mythe du Mal-être qui se déroulerait là tout de suite.
Omnisphère
Batterie en solo semi-instable amplifiée et mixée avec des cris de grands singes, l'intension de maintenir un rythme rapide et soutenu, poussé vers les limites physiques de l'hominidé citadin moyen donne un résultat bruyant entre la techno, le marathon et le metal en passant par des couches d’atmosphère.
Omnisphere est l'évolution du solo batterie "les mains froides" , de Nantes.
Attic Ted
Depuis la riante cité d’Austin au Texas, Attic Ted, fabrique des masques, joue du banjo et du synthétiseur.
Il incarne tour à tour des personnages aux pathologies mentales réjouissantes et variées …
et ce, dans un effort désespéré pour remuer vos postérieurs d’européens qui vivent toute l’année sans voir un cheval.
Le style d’Attic Ted se trouve quelque part entre un cauchemar ivre, à mi chemin chemin entre une fête de carnaval et le concert de bossa nova le plus flingué dont vous pourrez témoigné. Imaginez un linéaire Caroliner Rainbow, infiltré pat The Ex, Kreamy ‘Lectric Santa, De Kift and thé Residents, tout cela l’influence d’une enfance en zone semi rural du Texas.
Jean-Michelle Tarre
JMT est une sorte d’OVNI solitaire dans des ténèbres sans fin. Elle est la moitié du duo Grrzzz, et là elle joue seule ses propres obsessions. Une voix spectrale et tordue de même que de très petites machines*** avec un gros son vous feront exécuter la célèbre danse de St Guy. Cela sonne et cela se regarde comme un énorme fleuve de goudron décidé à atteindre son but par tous les moyens nécessaires… avec un sourire strident autant qu’aigre-doux.