Fondée en 2008 par Krinator et Usé, la musique des morts vont bien vous caresse pour mieux vous branler. Les tonalités ténébreuses se balancent sur des rythmes qui cavalent. La frontière entre pensée malsaine et cauchemar lascif se fait mince. Et c'est dans cette fissure que la voix fébrile et laiteuse de krinator, les mélodies de clavier lugubres et entêtantes, et les lignes désobéissantes de guitare frappée vous font basculer. Vous danserez dans les affres d'un rêve suave et impure.

Accompagné pour cette tournée de Quentin (Sida) à la batterie et Cheb Samir (trans upper egypt, capputtini i lignu etc...) à la guitare. Fondée en 2008 par Seb Normal et Lily Pourrie, la musique de Delacave vous caresse pour mieux vous ébranler. Les tonalités ténébreuses se balancent sur des rythmes qui cavalent. La frontière entre pensée malsaine et cauchemar lascif se fait mince. Et c'est dans cette fissure que la voix fébrile et halitueuse de Lily Pourrie, les mélodies de clavier lugubres et entêtantes de Seb Normal, et les lignes désobéissantes d'une basse à deux cordes vous font basculer. Vous danserez dans les affres d'un rêve suave et impure.

Da ! Heard It Records s’offre l’ironie déjantée dopée à l’absurdité assumée des trois affreux d’Infecticide. Avec “Chansons Tristes”, le trio nous propose un premier album décloisonné de tout catalogage musical. Recueil d’une épopée de cinq années infectées, “Chansons Tristes” nous emporte/affole au gré de ses rythmiques froides, synthés distendus, basses sautillantes et rifs sales et crus. Un mélange rare et détonnant porté par une exigence remarquable où chant, clavier, batterie et guitare électrique s’accordent pour un univers singulièrement décalé.
Quinze morceaux aux lyrics néo-dadaïstes qui laisseront pantois tout esprit se limitant au premier degré pour râvir les personnalités à l’approche plus décalée/reculée. Une finesse dans la production qui viendra caresser de ses douces références à Liaisons Dangereuses, Detroit Grand Pubahs ou
Front 242 les oreilles les plus pointues, tout en réajustant - festivement - les chapeaux... pointus. De l’humour (noir et festif) donc au service du sérieux. En plus d’exceller dans la production de ces petits bijoux auditifs aux sonorités électro-punk-wave, les trois lascars d’Infecticide se distinguent d’autant plus par leur présence scénique (et leurs costumes cosmiques) qui poussera le quidam blasé et déprimé du fond de la salle à se rapprocher de la scène pour échanger et déverser sueur et cris libérateurs.