Ouverture du festival avec une perfo-conférence sur la grande et la petite histoire de L'Embobineuse. 

Bonne Humeur Provisoire décèdera dans un crash-test entre Agen et Agen.

Encadrants dynamiques du service social de l'hospice de Beaune.

Encartés Dalida Suicides Fanclub, adeptes de l'hypnose par l'épilepsie, vaisselle cascade, industrie du jouet, industrie de la flûte à bec, grêle sur ta voiture.

Piluliers, grenouilléres et sangliers.

Placenta Popeye - c'est 2 gars - plein d'enregistrements qui prennent la poussière et presque pas de concerts mais ça va changer peut-être - plein de disto et des larsens - du 3 pistes bien analogique comme ça quand t'écoutes le disque le son sature pareil que nos oreilles quand on l'a enregistré - en fait c'est juste des chansons d'amour bien camouflées dans du bruit pour éviter de passer pour des minettes.

Ghetto Blastard est un performance de Jean-Marcel Busson. On retrouve ce musicien de GOL (invité à Sonic Protest 2008 à une rencontre avec Charles Hayward) dans un contexte performatif qui rejoint son travail  de plasticien.

Avec Ghetto Blastard, une action scénique éclair et bruyante autour du ghetto blaster customisé comme instrument, un détournement sauvage d’un objet culte.

Avec Ghetto Blastard, Jean-Marcel Busson propose un décodage et une relecture d’un objet du quotidien investi de valeurs qui le dépassent et se confronte au fétiche en jouant de la principale caractéristique du Ghetto Blaster : la puissance sonore !

Première apparition de l'hybride bicéphale électrique composé de Ravi Shardja (Gol - Oléo Strut) et Jean-Marcel Busson (GoL - DasOS - GhettoBlastard).

Le chant délétère des machines et la sueur croupissante des jobless rentreront en résonance avec les rayons violets de vos chiennes de vie.